Le 12 octobre 1945, dans
le cadre du « concours de reportages » qu'il a lancé, le journal Liberté-soir (sous-titré
« Quotidien d'informations et d'unité socialiste »), publie un article du futur
grand reporter et écrivain René Mauriès (il était né à Mirandol en 1921).
Le texte est intitulé « À
la limite du Rouergue et de l'Albigeois ».
On peut y lire notamment
ce passage concernant Montirat : « Bourgade déchue, aux maisons
vétustes, à la vieille église écorchée et ternie, sur les vestiges amoncelés
des anciens remparts... »
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