Dans un chapitre de son livre Mémoires d'un passant publié en 1893, le journaliste et écrivain Philibert Audebrand (1815-1906) fait un portrait imagé de Bernard-François Balssa, enfant de Montirat devenu adulte.
Il écrit notamment :
" Le père d'Honoré de Balzac était d'une trempe des plus vigoureuses. Il était d'une taille assez élevée, marchait la tête haute, en conquérant, et un peu infatué du mérite de sa beauté physique, il disait à peu près tous les jours, en gasconnant,
- Eh bien oui, je suis Gascon ; mais je suis beau comme un marbre et fort comme un arbre.
Il est mort presque nonagénaire, et, sans un accident fortuit, une voiture renversée, il serait allé jusqu'à cent ans."
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