Dans le quotidien France-Soir, au cours de l'été 1953, Paul Gordeaux signe un feuilleton intitulé « Un oncle de Balzac assassin ».
Sans doute pour répondre à l'attente de ses lecteurs, l'auteur se préoccupe moins des faits historiques que des détails plus « vendeurs ». Ainsi, après avoir indiqué que Louis Balssa était « assez à son aise pour pouvoir, lorsqu'il y avait trop de travail sur ses terres, prendre une servante », Paul Gordeaux décrit Cécile Soulié en des termes évocateurs : « Superbe fille d'une trentaine d'années [...] que l'on avait surnommée la Calore ou la Caloresso (la Chaude) tant elle avait la réputation de s'en laisser volontiers conter par les hommes. »
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